Grandi par les épreuves, il sourit, comme s'il venait de vaincre Jules César ! Moi, j'aimais plutôt respirer les meubles de ma maison, j'y lisais le temps, l'art et le soleil, mais lorsqu'on est au travail c'est différent, on ne fait pas ce qu'on veut. On vous fait suivre des règles puis tout devient très compliqué et au final vous échouez quotidiennement dans l'exercice de vos fonctions. Cela ne m'empêche pas d'éprouver de l'affection pour votre maladresse et l'âne est un animal bien sympathique, à ce qu'il paraît. À vrai dire ça m'est égal ; je n'éprouve aucune sympathie à son égard. Je vais même jusqu'à souhaiter qu'il tombe de sa chaise en marbre. |